Le Covid-19 perturbe l’aïkido

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La FFAB vient de décider d’annuler tous les stages nationaux et CEN jusqu’à la fin de cette saison. Cela signifie donc que le stage de Jean-François Fabre, prévu le 21 mars au dojo du SUAPS est annulé. Pour l’heure, les stages du CID Limousin sont maintenus.

Les cours du LAM seront maintenus tant que le dojo restera ouvert. Nous rappelons que nous comptons sur la mobilisation de tous pour le cours spécial prévu vendredi, en hommage à Me Tamura.
Afin de rassurer tous nos pratiquants, voici quelques conseils prodigués par Jacques Château, Médecin Fédéral, début mars.

« D’après les informations disponibles à ce jour, le nouveau Coronavirus peut se transmettre d’homme à homme par voie respiratoire dans le cadre d’un contact étroit. Le virus peut survivre quelques heures sur des surfaces inertes et sèches, voire quelques jours dans l’environnement. Toutefois, pour les autres coronavirus connus, aucune infection à la suite d’un contact avec un objet contaminé n’a été rapportée », prévient-il.
Comme pour toute maladie infectieuse, il est essentiel de respecter certaines mesures habituelles d’hygiène, et quelques règles de bon sens. Si vous êtes fébrile ou si vous toussez, évitez de venir aux entrainements : même si vos symptômes ne sont (heureusement) pas liés au Coronavirus, vous êtes possiblement infecté par d’autres virus ou bactéries et donc contagieux. Reposez-vous et récupérez plus rapidement.

En pratique, dans nos dojos :

Le risque est limité, puisque seul un contact étroit avec des personnes présentant des symptômes pourrait nous contaminer par voie respiratoire.
Lavons-nous les mains avec du savon ou, mieux, désinfectons-les avec une solution hydro-alcoolique avant et après l’entrainement. La mairie a d’ailleurs approvisionné les lavabos des toilettes et des vestiaires en savon. Limitons les embrassades et les accolades. Les poignées de mains restent possibles puisqu’elles auront été désinfectées auparavant… et si nous toussons ou éternuons, faisons-le au creux de notre coude.
La sueur ne représente pas un vecteur de transmission. Toutefois, il peut être judicieux de nous munir d’une petite serviette glissée dans notre keikogi si nous transpirons facilement. Cela évitera d’inquiéter inutilement nos partenaires. Le port du masque n’est pas nécessaire.